Hallo Heiner,
ich denke, da die Scheibe ohne Zweifel von Pelés Exemplar stammt, kann sie nicht
von Madame Comettes Exemplar stammen, sondern muss von dem in zwei Teile gebrochenen 205,9g Exemplar stammen,
über das Pelé und Jambon am 21.7.11 von einer anonym gebliebenen Familie aus Draveil informiert wurden.
Die Familie hatte ein Loch in ihrem Dach entdeckt. Eine Hälfte ging ins Museum, die andere (125 g) in Pelés Sammlung, bis das Stück dann zersägt wurde, da es sich im Ganzen nicht verkaufte.
HIER ist das Gebäude, in das der Meteorit einschlug, noch einmal zu sehen.
Madame Comettes 88g Exemplar durfte an niemanden verkauft werden (nur Carion hatte ein paar Gramm erhalten) und ist bis auf ein paar Krümel vollständig im Naturkundemuseum in Paris gelandet
(hier links oben im Bild), da der Vermieter des Hauses es so wollte.
Pelé schreibt folgenden Text zum Fall:
Le 21 juillet 2011, les propriétaires d’une maison située à Draveil, petite commune située dans l’Essonne, au sud-est de Paris, me contactent. Il est vrai qu’avec la chute d’une météorite en Bretagne le 19 juillet 2011, les médias parlent abondamment du sujet des météorites. Bref, à leur retour de vacances le 18 juillet, ils constatèrent un trou sur le toit de leur dépendance, leur fenêtre de chambre donnant directement sur celui-ci. Deux tuiles étaient brisées ; le fils du couple monta sur le toit à 17h et découvrir la météorite dans la laine de verre.
Après l’avoir cassée, le couple pensa immédiatement que ce n’était pas une pierre classique et m’a contacté. C’est en ces quelques mots que la propriétaire me relate sa mésaventure heureuse : « Bonjour, Je n’habite pas en Bretagne, mais en Essonne, et dans la nuit de lundi à mardi dernier, j’ai eu la mauvaise surprise de retrouver un trou dans mon toit – deux tuiles cassées. J’ai pensé qu’un mauvais plaisantin avait lancé un caillou sur le toit, mais vu le trou et l’endroit : c’était improbable. La pierre a percé le toit jusqu’à la laine de verre. Quand j’en ai parlé à mon frère après qu’il ait vu le caillou, il m’a demandé de faire le test de l’aimant : c’était positif. L’objet fait 208 grammes. Voilà pour mon témoignage. Cordialement. »
Puis, dans un email reçu le 22 juillet, elle complète son témoignage par ces quelques mots : « Cet objet est tombé sur le toit d’une dépendance, qui se trouve être directement en contrebas de notre chambre. Je me suis aperçue qu’il y avait un trou dans le toit, dans la matinée. Personne n’a entendu de bruit, cependant cela a pu passer inaperçu compte tenu des feux d’artifices aux alentours. ».
Je contactai également le Professeur Albert Jambon qui accepta de m’accompagner dans l’Essonne, le vendredi 22 juillet en début d’après-midi. La pierre, trouvée à proximité de la forêt de Sénart, a une masse de 205,9g. Ayant été cassée en deux par les découvreurs, un fragment est cédé au Museum et le reste rentre dans ma collection.
Le 28 septembre 2011, le Professeur Jambon effectuait l’analyse de la météorite au Museum d’Histoire Naturelle de Paris. Elle est classée en chondrite H5.
QuelleEin tolles Geschenk!
Ganz herzlichen Glückwunsch zu dem seltenen 3,1 g Scheibchen, Heiner!
Martin